Articles

Elles jouent ensemble depuis toujours. Sœurs dans la vie, complices en musique, Marie et Sophie Hallynck signent un nouveau disque en duo.

Avec 36 albums sortis en 2020, le Belge Déhà fait un peu office d’extraterrestre dans le milieu musical. Derrière cet obsédé de la musique (c’est lui qui le dit), se cache un multi-instrumentiste autodidacte et un producteur pour qui la musique au sens large.

Pour ces photographes de presse, les tournées et les festivals constituaient, avant la pandémie, une assurance de rentrées financières… en même temps que des lieux et des occasions où combler leur passion.

Impossible de le louper: à chaque concert du guitariste Philip Catherine, un percussionniste fait des étincelles. Angelo Moustapha, un nom à retenir!

Si on n’y prend garde et qu’on ne s’arrête pas à temps, on arrive en Allemagne. Un peu trop au nord, c’est en pays batave qu’on risque de finir. Plus au sud, c’est la Wallonie qui nous tend les bras. Bref, il est temps de revoir sa géographie belge et mettre Hasselt sur la carte musicale ! 

Le temps d’un slalom sans Caballero, le rappeur s’offre à présent un joli Hat Trick. Une performance solo à apprécier à l’aune de ses goûts musicaux.

Le vendredi 21 mai sortait le nouvel album du duo, Fall off the Apex. Larsen a profité de l'occasion pour rencontrer Rémy (Venant) et Mathieu (Flasse) et leur demander de parcourir ensemble leur discographie.

Elle, c’est Coline, voix formée au chant lyrique et plume trempée dans l’onirisme. Lui, c’est Antoine, pianiste, producteur un peu geek et grand passionné de soundtracks. Eux, c'est Coline et Toitoine et ils sortent leur premier EP le 21 mai, Soma.

L’Or du Commun retrouve son mojo et le devant de la scène avec un troisième album d’excellente facture.

L’album 90% of Honesty sortira en vinyle sur un label créé pour l’occasion. Retour vers le futur avec Damien Polfliet, l’intelligence bien humaine derrière ce projet.

Au cours des mois écoulés, la crise sanitaire a poussé pas mal de technicien.ne.s de la musique à se trouver un nouveau travail. Autopsie d’un phénomène qui ne sera pas sans effets sur la reprise, quand reprise il y aura.

Entre 1994 et 2003, Louvain-la-Neuve, puis Court-Saint-Étienne, ont été les lieux de rendez-vous d’un festival hors normes : le Boogie Town. Retour sur un festival mythique avec 3 témoins qui ont participé à sa renommée.

Quel beau son que celui d’InAlto, patiemment ciselé, dont ce nouveau disque impose plus que jamais la signature sonore d’une formation née il y a dix ans à peine.

En 2003, un documentaire sur Marcel de Keukeleire, éditeur, producteur de musique et dénicheur de talent à Mouscron fait énormément parler de lui. Et pour cause, ce disquaire et ancien accordéoniste est à l’origine de succès interplanétaires comme Brasilia carnaval, La danse des canards et Born to be alive… Retour sur un film presque aussi mythique que son personnage principal.

Un temps chaudron de la musique rebelle, Leuven la paisible aurait-elle perdu sa fougue ? Rien n’est moins sûr. Une petite visite guidée ?

Avec Al Najma, “L’Étoile” en langue arabe, Tawsen clôture une trilogie d’EP sur le thème de l’amour et des failles relationnelles.

Avec les Fluid Suites for cello que lui a composées Manuel Hermia, la violoncelliste Sigrid Vandenbogaerde signe un disque solo d’une tendre plénitude.

Un an et demi ou presque après avoir été porté sur les fonts baptismaux, le nouveau média de la RTBF a plutôt bien grandi. Le contenu s’est étoffé, la grille s’est "humanisée" et il s’est même installé sur les réseaux sociaux.

La musique, écoutée, pratiquée, peut-elle enfiler la blouse d’aide-soignante ? La thématique, brûlante d’actualité, s’incarne dans trois expériences musicales inscrites dans des parcours au long cours. Larsen éclaire.

Les artistes de musique classique sont peu représentés sur internet mais depuis quelques années, et surtout depuis le confinement, ils commencent à percevoir l’importance d’une présence en ligne pour maintenir un lien avec le public.

Des “petits” festivals , des concerts assis, masqués et vraisemblablement sans alcool. Beaucoup de groupes locaux. Un “secteur musiques nouvelles” peut-être plus uni et revendicatif, sans doute aussi  un peu plus écouté. Une relance sans vraiment d’argent. C’est l’après-Covid, c’est déjà demain.

Portée par de somptueux arrangements de cordes et par une passion pour les ambiances synthétiques, la musique d'Elefan s'élance au carrefour de l'électronique et du classique.

Vingt-cinq ans de carrière et toujours pas l’ombre d’une ride, pas un seul signe d’essoufflement dans les rangs d’une discographie qui, au fil du temps, s’embellit.